une fille perdue (pv: qui vpoudra!^^)

" Diantre, je me suis encore perdue ? Qu’elle idée de mettre autant de grain de sable dans un même endroit… "

La voix exaspérée fatiguée de la grande Pixel s’était perdue au confins de la nuit. Voila plusieurs heures qu’elle déambulée dans les long couloirs de roc froid. Comme à son habitude, lorsqu’elle se baladait dans le coin, elle finissait par y rester pendant des heures, des jours même, jusqu’a ce que les équipes de secours viennent la récupérée. Oui, il n’allait pas laissée un de leur meilleur agent recruteur perdue seule dans le froid de la nuit… Du moins elle aimait penser ça…

" Et qu’elle idée de faire un labyrinthe de se type. Dieu ne pouvait pas faire un monde plat… Il a fallut qu’il s’amuse avec ses pâtée de sable, et qu’en plus il rajoute de la caillasse partout… Foutu relief... "

Pixel frissonnait légèrement, non de peur mais plutôt de l’absence de vêtement chaud pour recouvrir sa douce peau attaquée par l’acidité du froid.

" Se type est vraiment tordue… "

Elle continuait à grogner seule sur les incompétance de Dieu, comme un bovin égarée et enervée qu’elle était.

* Tu t’en tiens comme seule responsable, s’y tu trouver un endroit plus accessible pour faire tes siestes, ça se passerais sans doute mieux… *

La jeune femme émis un long soufflement, avant de s’arrêter pour reposer ses pauvres pattes engourdit par sa course folle.
Quand, brisant le silence pesant de la nuit, elle entendit un murmure se glisser au loin. Enfin quelque un ! Avant qu’elle ne se mette à charger vers son sauveur, Pixel plissa des yeux pour apercevoir une forme, humanoïde se faufiler discrètement. La « chose » était pratiquement insonore. Ses pas étaient posés, calmes. On n’aurait peu la détecter si d’elle n’émanée pas un bruit bizarre de reniflement incertain.. En tendant l’oreille, la Chimera cru reconnaître un petit sanglot. Oui c’était bien des faible gémissement qui s’extirpé de la forme s’approchant doucement…

* Un… un enfant ? *

Après plus grande observation : Non… elle avait plutôt l’air d’une adolescente… tenant un ours en peluche dans les bras… Pixel sortit de sa cachette pour mieux admirer la nouvelle inconnu. En plissant les yeux comme une maman en colère, elle s’approcha vers la personne. Un ours en peluche… hein ?
Voyons voir ce qu’on me réserve ce soir… Elle adopta son sourire bienvaillant et sans aucune méchanstée qu'elle avait pour habitude d'enfilée.

Pixel resta un moment en silence, observant secrètement la jeune fille avec attention.

* Main droite… ours en peluche… pas bien grande, pas assurément discret… Et les yeux ? Je n'arrive pas à les voirs...*

Son sourire débordant de sympathie et de douceur, la Chimera souleva son chapeau de cuir marron de ses longs doigts fin, dévoilant ses doux yeux bleus qu’elle porta sur l’enfant.
Ses longues chaussettes rayées arc en ciel monter le long de ses jambes, son short de jeans bleu, semi arracher laisser pendre quelque fil blanc, son poncho de cuir brun sur lequel était brodée de nombreux dessins dissimulait son corset noir. Il claquait dans le vent, soulevant aussi son écharpe rouge et noir qui entourer son petit coup. Il était vrai que son allure des plus atypique avait pour habitude d’attirer les regard perplexe des autochtones mais c’était tout les morceaux de tissus qu’elle avait amassée depuis plusieurs année et dont elle refusait de se séparée pour autre chose que le lavage.
Son regard était agréable et se voulait rassurant. Bien qu’elle fut sur ses garde, Pixel ne pouvait se résoudre d’adopter une posture de non confiance, s’eu était cruel pour la pauvre enfant.
Alors calmement elle murmura :

« Hé bien, jeune fille, on peut dire que tu as eu de la chance de tomber sur moi… »

Elle accentua son sourire, fermant les yeux ce qui lui donna l’allure d’un clown festif. Elle repris de sa voix cristalline :

« Que fais tu par ici … toute seule… »

* Quand bien même serais-tu seule... *

*Ho… Monstre ! Comme oses-tu faire pleurer une enfant.*

Le sourire de Pixel se figea devant la perle soudainement apparut au
coin de l’œil de l’enfant. Tentant de dissimuler son mal être devant
cette créature de la terre, la Chimera détourna la regard un bref
instant. Elle avait toujours eu du mal avec les enfants. Non qu’elle ne
les aimer pas, c’était peu être les seule « choses » qu’elle supporter
dans se bas monde. Au contraire, ils représentaient à ses yeux, la
seule trace d’espoir sur Terre. Mais voire ces créature encore
conserver de la violence du monde, de tout c’est composantes néfastes
qui s’acharnerais sur eux dans quelques années. C’était voire ces
enfants qui plus tard formeront le mal qui ronge notre mère a tous,
c’était voire dans leur petit yeux tout rond, la grandeur de la bêtise
humaine prendre pied. Et tôt ou tard, voire la déception les envahir,
suivit de la rancune, la haine… Tôt ou tard ils deviendront des chacals
qui se battrons frère contre frère pour un même os pourris…
Pixel reporta son attention sur l’enfant, et d’une douceur extrême
glissa sa main sur la joie de son interlocutrice, recueillant les
larmes encore vierge de toute déception…

« Oui je me suis perdue, mais maintenant que je t’ai trouver, nous n’avons plus de raison d’avoir peur… hein ? »

Elle s’était légèrement abaisser pour se vouloir rassurante.

Pixel continuer d’afficher son air béa, les petits doigts de l’enfant se refermèrent sur sa main. C’était étrange, un sentiment ambigu qui lui soufflait d’avoir confiance en cet être fragile, et sa profonde paranoïa qui l’encourager a rester sur ses gardes.

* Ce n’est q’une enfant… rien de plus… rien de moins… *

Elle souffla sensiblement en resserrant sa main sur celle de la petite fille. La nuit dominée notre monde, l’obscurité des lieu ne donnait pas un air accueillant au canyon. D’autant plus lorsque celui-ci
porta en écho les halètements des charognards approchant méthodiquement d’elles deux. Pixel annonça plus sérieusement :

« … il faut se mettre à l’abris… Vite ! »

La jeune femme observa devant puis derrière elles, la meute était en marche et bientôt ils les rattraperaient. Fixant la paroi, la Chimera tenta de trouver en hâte une cavité où se cacher. Ce genre de bestiole n‘avait pas la compétence escalade, mais courraient assez vite pour les rattraper si elle venaient à fuir. Il était bien entendu hors de question de ce battre contre ce rustre qui ne comprendrais pas un mot des formule de politesse qu’elle pourrait annoncée. Oui… le combat n’était pas son fort.

Les coyotes arrivaient a grand pas, il n’y avait plus de temps à perdre. Suivant l’enfant, elle avait atteint une corniche qui semblait sûre bien qu’un peu étroite. Pixel n’allait pas chipoter, demandez le luxe d’un appartement deux chambre tout confort dans ce genre de situation ne lui aurait même pas traverser l’esprit… Enfin, sérieusement…
La petite fille entra dans l’antre. La jeune femme l’observa un cours instant avant de se faufiler a son tour dans la cavité. Le « trou » n’était pas bien grand, les parois froide conservait l’humidité de la nuit. Il faisait bien plus sombre que dehors, et seule les rayon de la grande lune les éclairées. La Chimera s’adossa convenablement, guettant l’arriver des prédateurs. Elle était contre l’enfant, de dos.
Le pelage épais, roux des carnivores s’aperçut un peu plus bas. De sa position Pixel pouvait décelait leur yeux vert chercher leur repas, leur longues oreilles pointues a l’affue du moindre bruit et leur étroit museau humant l’air à la recherche de leur proie. Pixel posa sa main sur la bouche de l’enfant de peur qu’elle ne crie. Il fallait être le plus discret possible pour que ces redoutable chasseur n’envisagent pas de camper à leur pied.

* Bordel… barrée vous bandes chien galeux…*

Elle ne quitta pas un seul instant des yeux la meute qui fouillait les environs. A moitié dissimulé, elle contemplait le chef de leur bande, immobile au devant du troupeau. Pixel avait largement calmait sa respiration, elle ne bouger pratiquement plus. Alors que les coyotes tournaient inlassablement en rond, le grand manitou leva sa tête vers la tanière des deux filles. Son regard haineux écartée les ténèbres. Pixel s’aplatit un peu plus dans l’obscurité, laissant sa main toujours posée contre les lèvres de la petite fille. La chimère fixa le leader, qui semblait avoir percer à jour les deux amies.
La chimère glissa doucement sa main sur sa hanches, dévoilent un vieux revolver mais avant qu’elle ne sa saisisse de ce dernier, la male dominant se tourna la tête et avançât lentement vers l’autre bout du canyon. Les aboiements perçant des coyote résonnèrent dans l’immense labyrinthe de pierre, la meute suivit le chef. Elle ne seraient pas le dîner de ces animaux, du moins pas ce soir. Pixel souffla un bon coup, retirant sa main du visage de l’enfant, et se tournant vers elle. Elle ôta son chapeau et replaçât quelques mèches qui gênait sa vue derrière son oreille. Ses grand yeux bleu fixèrent l’enfant et d’une voix rassurante elle commença :

« Ils sont partit… on a de la chance… »

Elle regardait l’enfant lorsqu’elle aperçut la lueur mécanique de son œil jusqu’à lors dissimulée. Sans changer une quelconque expression de son visage elle se laissa submerger par un flot de penser néfaste.

* Que… un faux œil ? Attends attends attends… Technologique.. ? Humm… Chimera ? Mais c’est une enfant… Ou pas… encore une « aberration génétique ? ». Bha me voila bien maintenant… Pourquoi je tombes toujours sur les jouets de mon entreprise. J’ai pas de veine moi je vous dis… *

Sa petite voix innocente brisa la chaîne de ses pensées. Elle la regarda de haut en bas, en affichant toujours son air bienveillant. La petite fille alors lui fit un légée sourire. Pixel se repris aussi vite.

* Tu divagues ma pauvre, c’est une gamine qui s’est perdue. Et quand bien même serait-elle le produit d’une expérience de la Chimeratech, tu n’es pas en service à l’heure actuel. Alors regarde là encore une fois et dis moi ce que tu vois.*

Le petit corps de l’enfant trembler sensiblement, ses bras protéger son nounours en peluche et sa tête reposait maintenant sur son épaule. Elle soupira intérieurement.

* Un enfant… qui à besoin d’aide. *

Elle pris dans ses bras l’enfant refroidit par la fraîcheur de la nuit. Elle ferma des yeux pour chasser définitivement toutes ses pensée ridicule, d’une voix fatiguée elle lui chuchota :

« Allons, il fait nuit, nous ne pouvons allez nulle part et tu m’as l’air bien fatiguée… »

Elle ouvre de nouveau les yeux pour regarder l’enfant.

« Tu peux avoir confiance, je m’occupe de tout alors dors maintenant… d‘accord ?»

Elle lui souria tendrement puis tourna la tête vers l'exterieur, guettant le moindre bruit suspect.

Elle marchait le long de la voie, sans y voir plus loin que le bout de ses pieds. C’était un chemin de fer vieux de plusieurs années, désaffecter, plus rien ne passée par là, sauf peu être quelques carnassier. Ses jambes lui faisait mal, mais elle continuer sans jamais s’arrêter, il lui fallait atteindre le bout du chemin, sans quoi jamais elle pourrait revoir la fille de la gare. Au loin se dessiner la station de son enfance. Pixel écarquillée les yeux, elle se mit a courir de toute ses forces. Sur le quais, l’ombre d’une femme, le cheveux flottant dans le vent. C’était elle ! Pixel allait enfin pouvoir la revoir. Il n’y avait maintenant plus que quelques mètres, mais tout aussi vite qu’elle aperçut l’écharpe de l’inconnu claquait dans le vent, une explosion déchira la gare soufflant pixel a des miler de kilomètre de la gare.
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La Chimera se redressa Violemment percutant la paroi.

« Aya !! »

Elle porta tout aussi vite sa main à son front, recueillant un filer de sang mêlée à quelques perles de sueur.

« Grr… Mer… »

Avant qu’elle ne prononça un autre mot, elle se rappela sa rencontre de la veille. Elle ouvrit grand les yeux, portant immédiatement son regard sur l’enfant.

Le soleil venait tout juste de detroner la lune, ses quelques rayons hazardeux illuminés leur cachette secrete.
Elle s’aperçut alors qu’une jeune fille se debater sûrement proie d’un mauvais rêve. Mais là où Pixel s’attendait à voir la fille de la vielle elle remarqua une même enfant mais au cheveux couleur lune. Quelque chose avait changer en elle pourtant lorsqu’elle se mit a parler, Pixel reconnu la voix de son amie d’hier. Plusieurs larmes coulèrent le long de son visage. La jeune femme ne pris pas le temps de reflation devant l’étrangetée de la scène, oubliant sa douleur au crâne, elle saisit l’enfant, la secouant pour la réveiller. L’enfant se mis à crier soudainement :

"ONISAN SAUVE MOI!"

Pixel se stoppa nette. Les yeux rond comme des ballons, elle pris sa tête entre ses mains. Son sang coulait le long de sa joue droite.

*Sauver ? Qui ça … ? Qui doit te sauver ma grande … ? Pas moi ? Ne me demande pas ça… *

Pris de panique, elle respira bruyamment pendant quelques seconde. Fermant les yeux, elle repris son calme. La jeune femme pris l’enfant dans ses bras, la berçant calmement en murmurant :

« Hey… princesse, ne te laisse pas avoir par ce mauvais rêve, revient vers moi… »